
Le Jam’in Jette Indoor fêtera déjà cette année sa 15ème édition! Une de plus pour ce ⚡️festival convivial⚡️qui combine groupes de musique du monde, bar à prix démocratiques et le Miam’in Jette qui vous réserve à nouveau un menu hors du commun. Sur les deux scènes, six groupes se relayent pour enflammer la nuit jettoise.
Entrée : 8€
Centre Culturel de Jette (Centre Armillaire)
145 boulevard de Smet de Naeyer
1090 Jette
Aller
Tram 19, 62, 51, 93,
Bus 13, 14, 15, 49
Metro Simonis + 2 arrêts de tram 19 ou 9 Place Reine Astrid + 3 min de marche
Metro Simonis + 2 arrêts de bus 13, 14, 15 Miroir + 6 min de marche
Metro Simonis + 18 min de marche
Metro Belgica + 2 arrêts de tram 51 + 5 min de marche
Metro Belgica + 12 min de marche
Retour
Noctis N16 Arrêt Riethuisen
COLLECTO
Covoiturage
Taxi
Itinéraire Centre Culturel de Jette – Arrêt Riethuisen http://goo.gl/6tHncv
Horaires bus N16 direction Bourse
http://goo.gl/okA54V
5 stations Villo! à moins de 600m à la ronde. Une organisation de l’asbl Kwa !

Bio
Rod Anton & the Ligerians (Reggae- Roots/FR)

L’alliage parfait du roots mythique des années 80’ et de riddims reggae contemporains. Les Ligerians ont déjà foulé la grande scène de l’indoor, il y a tout juste une année avec Joe Pilgrim et c’était vraiment smooth, on a adoré! Alternant français et portugais, comme sur son dernier opus, sorti en 2017, qui est d’ailleurs un clin d’oeil à Ubatuba, une ville côtière du sud-est du Brésil, d’une beauté rarissime qui doit être préservé. Rod Anton nous livre un reggae engagé: éco-responsable, emprunt de voyage, d’appel à l’unité et de coups de gueule contre les corrompus qui croient tirer les ficelles de ce monde. On reste donc convaincu que leurs instruments épurés au côté de la voix puissante de Rod Anton sonneront le glas de cette quinzième édition.
Babylon Trio (Iraqi Electro/BE)

Trois musiciens arrivent en Belgique en 2015 – 2016, ils sont réfugiés des troubles sociaux et politiques qui ravagent l’Irak. Aidés par diverses associations culturelles belges, ils jouent d’abord pour la communauté des diasporas irakiennes, syriennes, etc. Puis, ils décident de se grouper pour composer une musique électrifiée contemporaine iraquienne. Leur premier album «Habibi» est un recueil de chansons mêlant leur ancienne vie en Irak et leur nouvelle vie bruxelloise sur des sujets tels que la séparation, l’amour, la beauté. Vous y retrouverez les bruits de la circulation vous plongeant dans un Bagdad animé, un doux mélange électrisant de musiques irakiennes et arabes contemporaines, le tout saupoudré de son hybride qui pousseront les plus timides sur le dancefloor.
Saouta Trio (World/BE)

Saouta Trio, c’est tellement doux, on a l’impression qu’ils nous racontent des histoires aventureuses, sans passer par les mots. Ils sont trois, avec des univers distincts qui s’entremêlent. Saouta (sax,oudet tabla), c’est la symbiose de ces instruments qui incarnent divers univers : musique celtique, arabe et indienne. L’univers de Saouta est donc une ode aux voyages avec ses mille et une disparités. L’improvisation, et la liberté consentie de détourner les codes relient au jazz, et sonnent comme une évidence. Comme ils l’expliquent, la composition musicale s’est fait naturellement à l’écoute de ce qu’ils ressentent, au gré des expériences. “On a soufflé dans nos instruments et on a enregistré ce qu’il en est sorti”. À bon entendeur, ce sera, sans doute, le concert le plus intimiste de cette édition.
Touko Sari (Reggae/BE)

Groupe de reggae métissé aux consonances africaines, bouillon multiculturel du nord du Bénin aux ruelles de Bruxelles. Une recette gagnante et délicieuse, des accords simples, mais assez généreux pour nous aller droit au corps et au coeur. Car ici, personne n’est laissé pour contre, ce n’est pas par hasard que le groupe s’est choisi le nom de Touko Sari, qui se traduit par: « nul n’est étranger », en batonou, une langue béninoise. Et il n’y a pas que le nom du groupe qui est parfumé d’ouverture. Les racines des musiciens permettent de multiples sources d’inspirations, tant au niveau instrumental qu’au niveau des langues chantées (français, anglais, batonou, wolof, mooré, dioula, etc). En formule quasi acoustique, Manga, Rodi et Max nous feront le plaisir, avec plein de sourires, d’ouvrir la quinzième édition de notre formule Jam’in Jette Indoor.
Studio Shap Shap (Trad-Modern Niger)

En 2015, une radio locale au Niger cherche des musiciens pour créer vingt-sept morceaux en trois jours. Les membres du futur groupe ont relevé le challenge et ont quasi tous poursuivi l’aventure. Studio Shap Shap porte ainsi bien son nom, puisque « Shap Shap » renvoie à un travail « vite fait, bien fait ». Pourtant, le résultat est plus que déroutant. On y découvre une réelle fusion entre des instruments percussifs nigériens sublimés de dispositifs musicaux amplifiés (basse, piano) inspirés par la nature et la réalité d’un pays encore agité. La magie d’un univers musical inédit où se greffent des échantillons de discours, de conversations, des échos du marché local, des bruits d’animaux, un véritable voyage quasi cinématographique dans un halo énergique, positif et généreux. Jam’in Jette est fier de pouvoir les accueillir dans le cadre de leur tournée européenne, la seule date en Belgique.
Kolonel Djafaar (Afrobeat – Ethio-jazz/ BE)

Huit musiciens belges passionnés en provenance de la scène blues, d’une part et, du rock d’autre part, se sont regroupés en 2016. Trois ans plus tard, leur premier album loin de ces deux styles prédominants voit le jour. “Forgotten Kingdom” réunit 6 titres totalement instrumental et inhabituel qui illustrent, à la sauce Jafaar, la construction d’un mélange d’afbrobeat et d’ethiojazz, à la fois doux, progressif et frénétique. Influencé par des prodiges tels que Fela Kuti, Mulatu Astatke, ils nous emportent dans une rythmique dansante et libératoire, des mélodies narratives des quatre cuivres, le groove des percussions, de la guitare et de la basse, le tout englobé par les notes retentissantes et psychédéliques du clavier.